11 mars 2011
Mon frère ennemi de sang
Quand l’étendard cannibale hisse tes armes
Port-Bouet[1] agressé s’arc-boute aux vagues
L’édifice pachyderme brame Akwaba [2]
Fier de t’enterrer dans l’urne, Scélérat
Le sang partisan endure tes crachats
Tes démences ennemies baignent aux marées
Brutes et mercenaires dévastent les allées
Je refuse ton arme aux mains tocardes
Pelle bâtisseuse si prompte criminelle
Je refuse ton verbe, souillures sur l’écran
Simagrées mortelles semées par mandat
Le sable suce le sang rouge des machettes
coupant les bras, devenue meurtrière
Violes, tues, mères et filles, Vengeance sonnera
Odyssée Noire / chevalnoirdulysse@gmail.com
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